Lancement de trois publications de Monique Régimbald-Zeiber
Galerie de l’UQAM
En français
Entrée libre
Monique Régimbald-Zeiber et Louise Déry vous invitent à célébrer le lancement de trois nouvelles publications des Éditions les petits carnets, La belle lurette, Itinéraire de délestage et Tableaux disloqués et enchevêtrements d’écritures, lors d’une soirée festive le lundi 18 juin à la Galerie de l’UQAM. Ce sera également l’occasion de souligner la mise en ligne du site web de l’artiste, qui offre un survol de son travail sur plus de 30 ans.
La belle lurette
La belle lurette aborde la question de l’amitié et de la complicité des femmes dans différents contextes de la création et de l’émergence de leurs œuvres.
2018, 39 p., couverture souple, en français, 20 $
Itinéraire de délestage
Itinéraire de délestage aborde la question du cheminement de l’image dans la construction du regard, de l’histoire et du discours. Il accompagne la réalisation de l’œuvre Les dessous de l’Histoire : Marguerite B., les écrits (2002-2003).
2018, 47 p., couverture souple, en français, 20 $
Tableaux disloqués et enchevêtrements d’écritures
Tableaux disloqués et enchevêtrements d’écritures traverse les revirements du travail d’atelier d’une femme peintre aux prises avec la construction de l’histoire, du regard et du discours qui fonde sa discipline et la pousse à l’indiscipline.
2018, 71 p., couverture souple, en français, 20 $
Le graphisme des trois publications a été réalisé par Aurélie Painnecé.
À propos de Monique Régimbald-Zeiber
Monique Régimbald-Zeiber vit et travaille à Montréal. Très tôt elle s’est intéressée à l’écriture et au politique dans l’art. En 1980 elle obtenait un doctorat en littérature qui proposait une lecture croisée des écrits et pratiques picturales de l’avant-garde russe. Elle a été professeure à l’École des arts visuels et médiatiques de l’UQAM de 1992 à 2012. Peintre, elle a, depuis une vingtaine d’années, développé une démarche qui interroge la construction du regard et de l’histoire, en particulier celle des femmes. Elle le fait dans et par des croisements de peinture et d’écriture. C’est à l’intérieur de ce projet qu’elle s’est intéressée à la peau comme ultime registre de la petite histoire. Ses œuvres font partie de différentes collections dont celles du Musée national des beaux-arts du Québec, du Musée d’art contemporain de Montréal et de la Galerie de l’UQAM. Elles ont été exposées au Québec, au Canada et en Europe. Ses deux dernières expositions individuelles se tenaient à Rome en 2008, Éclats de Rome à la galerie La Nube di Oort, et à Montréal en 2011-2012, Les dessous de l’histoire (2) à la Galerie B 312.
moniqueregimbald.com