Printemps 1990. Sans discrimination. Les luttes et les victoires des femmes
Dans le cadre de l’événement Femmes en Tête pour souligner le 50e anniversaire du droit de vote des femmes au Québec
Artistes : François Beaudin, Diane Béland, Alain Benoît, Anne-Marie Bentz, Michèle Bergeron, Luc Boisclair, Martin Boisseau, Line Bouchard, Gilles Bourgeois, Naney Bourassa, Guy Boutin, Richard Bruneau, Pierre Canessa, Michelle Castegnier, Déborah Chapman, Isabelle Chartrand, Denise Cloutier, Guylaine Cloutier, Luce Comtois, Liliane D'Aoust, Katia da Silvia, Noces de Cana, Marie-France Desmeules, Eric Drapeau, Nadine Drolet, Louise Dubuc, Carmen Dumont, Carole Dupuis, Carole Duquette, Richard Durand, Christine Faucher, Anne-Marie Fauteux, Georges Francoeur, Dorothée Gaboury, Maryse Gagné, Lucie Gagnon, Joanne Gauron, Jean-Pierre Gauthier, Christine Giguère, Richard Gingras, Nathalie Godard, Yuki Gomyo, Elaine Gosselin, Stéphane Grégory, Nathalie Grimard, Yolanda Hermandez, Sonia Hubert, Michelle Huot, Dinh Jacky, Vincent Laforturne, Camille Langevin, Camille Leblanc, Dominique Chloé Lefebvre, Marie-France Légaré, Sylvie Letarte, Sylvain Léveillé, Manon Lizé, Marie-Lyne Lortie, Christine Marchand, Valéri Maridor, Suzanne Maurice, Geneviève Mercure, Katée Monette, Brigitte Morin, Marcel Morin, Thérèse Nadeau, Naimi Nehdi, Nicole Olivier, Josée Pellerin, Julie Pelletier, Richard Pépin, Alain Plourde, Sylvie Raquer, Louise Rheault, Nathalie Richer, Maria Teresa Rodriguez Freire, Catherine Rondeau, Carolle Roy, Diane Royer, Gabrielle Schloesser, Valérie Stephani, Chantale St-Onge, Julie Tessier, Cristina Torrent Oriol, Diane Vallières, Mia Van Gucht, Gabriel Vegiard, Jocelyn Viens, Rachel Villeneuve
27 avril 1990 - 13 mai 1990
Vernissage : 26 avril 1990, 20 h 00
« Luttes et victoires des femmes » fut, cette année, le thème retenu pour l’exposition Sans discrimination, présentée dans le but de commémorer le cinquantième anniversaire de l’obtention du droit de vote par les femmes québécoises. Tandis que Si on allait faire un tour après dîner rappelle certains jalons importants de la lutte des suffragettes, une autre pièce, Et caetera signale le danger pour la cause des femmes, en cet anniversaire, de se satisfaire des gains acquis et de se contenter désormais d’un féminisme de salon, conforme et bien pensant. La Fontaine de l’oubli pour sa part interroge un certain retour au sacré dans la société.